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 Ezekiel Fitzgerald | V1

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Wint'Ice
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Wint'Ice


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Date d'inscription : 16/05/2013

Ezekiel Fitzgerald | V1 Empty
MessageSujet: Ezekiel Fitzgerald | V1   Ezekiel Fitzgerald | V1 I_icon_minitimeMar 29 Jan - 3:50


Ezekiel Fitzgerald

Informations générale sur le personnage
Prénom : Ezekiel
Nom : Fitzgerald
Sexe : Masculin ♂
Âge : 23 ans
Personnage sur l'avatar : Kaito - Vocaloid
Région de départ : Hoenn
Statut : Coordinateur
Numéro ID : 1802


Description physionomique
« Il y a des ces gens qui n’inspirent pas confiance. Dans leurs yeux brille une lueur de malice, quelque chose de malsain qu’il est difficile d’apprivoiser, d’oublier. Une boule se forme au creux de votre gorge alors que ce regard sinistre se pose sur vous, détaillant chacun de vos faits et gestes à la manière d’un prédateur fixant sa proie. Un sourire, un seul, permet de dévoiler les sombres pensées qui abritent un tel individu. C’est à ce moment que vous comprenez, alors que l’étincelle au fond de son regard s’embrase, que tout cela n’est qu’un jeu pour lui. Vous effrayer, c’est son jeu. Son amusement. Sa façon de se divertir. L’apparence de l'aîné Fitzgerald-Winter ne pourrait être plus en harmonie avec la personnalité qu’elle abrite… Il est un livre aux pages fatiguées et fragilisées par le temps, laissant le jugement premier se confirmer. On peut juger Ezekiel simplement en le regardant. Son apparence décalque sa personnalité… Il est ainsi difficile de déterminer si un tel individu est beau ou laid… Les critères de beauté sont beaucoup trop fictifs et frivoles pour pouvoir en juger ainsi Ezy… Même si les demoiselles de ce monde s’accordent à dire que c’est un jeune homme « magnifique » ; Autant se concentrer sur des faits irréfutables. »

Tranquillement, le ciel se lève à l’horizon, éclairant les lieux d’une lueur orangée et projetant de multiples ombres matinales sur l’herbe verdoyante du jardin principal. Assit sur la clôture qui entoure le balcon adjacent à ta chambre, tu laisses ton regard parcourir cet étendu verdâtre parsemé d’arbres exotiques. Difficile de dire si c’est le stresse, l’excitation ou une horloge biologique défectueuse qui t’a fait quitté les bras de Morphée avant l’aube… Mais tu prends plaisir à regarder le soleil se lever au travers les montagnes lointaines. Peut être devrais-tu en prendre l’habitude. La brise matinale est douce, exempte de toute brutalité… Celle-ci fait à peine virevolter les mèches de tes cheveux. Des cheveux bleus. Plus bleu que l’océan, que le ciel, que le saphir et la topaze… Vraiment, c’est un vent agréable qui fait de cette matinée un moment bon et douçâtre. Fermant les yeux quelques secondes, tu passe une main sur ton visage comme si tu voudrais en effacer les dernières traces de fatigue. Sur le passage, ta main rencontre ce petit nez en trompette qui te donne parfois un air enfantin qui ne cesse de te déplaire… Tu n’as pas d’affinité avec cette partie de ton anatomie trop retroussée, trop petite, trop pointue : tu as l’impression parfois, en te regardant dans le miroir, que ce nez te donne l’air d’un adolescent pré-pubère que seule ta chevelure aux mèches disparates, certaines volontairement en bataille, d’autres parfaitement alignées, parvient à effacer.

Tu te lève paresseusement, laissant un sourire franchir tes lèvres. De petites lèvres pincées à peine perceptibles au travers ce visage. Le genre de lèvres sans cesse allumées d’un sourire mesquin, moqueur ou dragueur … Le genre de sourire qui ne plait qu’à une minorité de personnes. Lorsque ces lèvres sont entrouvertes, on remarque même ces dents blanches parfaitement alignées aux canines proéminentes qui appuient ce comportement hautain qui te définit continuellement et que l’on remarque aisément grâce aux diverses sourires que tu adresses à tes congénères … Tu t’étire en bâillant, ayant cette impression d’avoir tout juste quitté la chaleur de ton lit alors que cela faisait au moins une heure que tu observais silencieusement, dans la pénombre, les monts escarpés ou les plantes grimpantes qui s’accrochaient au mur de la demeure. Franchissant la distance qui te sépare de la porte menant à ta chambre, tu jettes un dernier coup d’œil derrière toi. Tes yeux en amandes rehaussé de pupilles bleutées parcourent une dernière fois le paysage alors que les rayons du soleil parviennent à faire ressortir les reflets rougeâtres de ta pupille gauche qui, quelques instants plus tôt, était pourtant figée dans un bleu profond identique à sa celle de sa jumelle. Alors que tu refermes la porte derrière toi, tu glisses une main dans les mèches de tes cheveux qui recouvrent presque entièrement ton front et qui viennent encadrer ton joli minois, chaque mèche venant se perdre dans cette chevelure excentrique qui n’a jamais su déplaire à la gente féminine… Si seulement elles savaient.

Tes pieds nus martèlent le parquet ciré alors que tes doigts fins et effilés dispensés de blessures parcourent les lignes du papier peint. Peut être cela fait-il efféminé, mais sur chacun de tes ongles, on distingue parfaitement le vernis bleu que tu as décidé d’apposer… Cette seule partie de ton anatomie prouve que tu n’es pas quelqu’un qui est habitué de faire les choses par lui-même, se contentant de laisser les autres se démenés pour toi. Tes mains, aussi drôle cela soit-il à dire, sont parfaites. Il s’agit sans doute d’un des endroits de ton corps que tu préfères tant elles semblent gracieuses. C’est bête à dire hein? Ce n’est qu’un détail sans importance, mais celles-ci prouve pourtant que tu ne vis pas dans la misère... Bifurquant vers la salle de bain personnelle, tu laisses ton regard se poser sur le grand miroir ornementé de gravures à l’effigie des armoiries de ta famille. Celui-ci reflète l’image d’un magnifique jeune homme en pleine santé. Tu n’es pas laid. Tu le sais bien. Du moins, tu en es convaincu. Ton corps, bien que n’ayant rien de singulier, est parfaitement proportionné. Le genre de corps, quoi qu’un peu trop gringalet, n’est pas dégoutant à observer. Cependant, ton ossature est saillante sous cette fine couche de peau. Habillé d’un simple caleçon, tu distingue parfaitement les os de tes côtes ou celles de tes hanches. Tu n’es pas particulièrement musclé, pas du tout même… Cela pourrait paraître disgracieux, le contraire même d’idyllique, mais tu ne ressens aucun complexe face à ce corps qui, une fois caché sous tes nombreux vêtements, ne semble plus autant maigre et efflanqué. Bien sûr, il pourrait être mieux… Mais les armoires à glace ne t’intéressent pas.

Tu tends une main en direction d’un tiroir pour en tirer un linge que tu passe sous l’eau pour te laver le visage. Pas de traces d’après rasage, pas de barbe naissante, pas même la trace d’un seul poil susceptible de vouloir apparaître. Tu fais attention à ta peau et celle-ci est dénuée de toutes traces de poils ce qui te donne un air plus imberbe que nature, personne ne pourrait trouver quelque chose à redire sur ça. Il n’y a, sur cette peau d’une blancheur qui n’est pas sans rappeler l’ivoire, aucun défaut. Tu n’as jamais eu de problèmes d’acné, d’exémas ou de rougeur, ta peau est en parfaite état et est dénuée de toutes cicatrices. Tu ne prends jamais de couleur, même en été, tu n’as pas envie de tâcher cette perfection que tu reconnais chez toi… Et puis, un teint hâle ne serait plus en harmonie avec la couleur de tes cheveux que la couleur naturelle de ta peau fait ressortir.

Quittant la salle de bain, tu te diriges dès lors en direction de l’énorme penderie à double porte qui trône au centre de ton mur. Tu t’invites à l’intérieur sans t’offusquer de toute cette richesse qu’elle dégage, de tout cet argent qui se reflète dans chacun des murs, des vêtements, des meubles de cette seule « pièce ». Tu te diriges systématiquement vers le fond en tendant la main devant toi pour attraper un cintre sur lequel pend une chemise blanche à manches longues et dénuée de plis. Tu la détache tranquillement avant de l’enfiler, boutonnant un à un chacun des boutons du vêtement, ne laissant que les trois premiers libérés, te créant un col en « V » qui dévoile un bout de peau ce qui, tu le sais, te donne un air désinvolte. Soupirant, tu attrapes une veste noire sans manche que tu glisse par-dessus ta chemise alors que tu remonte les manches de celles-ci pour qu’elles t’arrêtent au niveau des bras. Tu n’es pas quelqu’un qui s’habille de manière complexe, mais toujours proprement. Contrairement à Anya, ta sœur, tu n’affiches pas constamment et partout les armoiries de la famille… Nulle part même. À croire que ta fibre familiale fait défaut. Sachant qu’il est bientôt temps de partir, tu attrape en vitesse une écharpe bleue que tu enfile spontanément, la laissant pendre de manière à ce qu’elle épouse les formes de ton col alors que tu revêts ton pantalon de toile noir au moment où tu atteint le plein milieu du couloir à l’extérieur de ta chambre… À ton poignet, tu remarques pour une énième fois les deux ficelles noires qui y sont attachées et un sourire apparaît sur ton visage. Tu as intérêt à te dépêcher si tu ne veux pas que ta chère sœur attende après toi…


Description psychologique
« Le monde est un amalgame de personnalités différentes qui constituent toute la diversité humaine. Il y a, en ce monde, des mentalités susceptibles de vous faire trembler de terreur alors que d’autres iront rechercher cette fibre vertueuse qui ne demande qu’à vibrer au fond de votre être. Il est difficile de classifier gentils et méchants, tant la complexité de l’esprit humain est un sujet délicat et difficile à définir. Après tout, personne n’est entièrement bon ou mauvais, c’est pour ça que l’humaine, dans toute son imperfection, est tant humain. Car tout le monde pense opérer les actions qui lui sont juste… Ainsi, un meurtrier sera convaincu que l’individu dont le sang tâche ses mains se devait de mourir, qu’il a bien fait… que c’était légitime. Qu’il a agit en héro. Alors que la femme, les enfants, de la victime cracheront sur cette certitude. Les méchants ne sont méchants qu’aux yeux de ceux en désaccord avec leurs agissements. »

Autour de toi, tout est blanc. Tu n’entends rien d’autres que le bruit des chaussures, que tu viens d’enfiler, sur le sol. C’est un bruit oppressant, mais qui n’a rien d’étonnant. Après tout, il est difficile de remplir adéquatement une demeure victime d’une aussi grande superficie. Pourtant, cette richesse, cet argent qui coule à flot, ce sentiment de n’avoir aucune limite… Tu as l’impression que les lois elles-mêmes ne s’appliquent pas à une personne de ta prestance. Tu es au-dessus de tout cela. Tu es ce genre de personnes. Tu es de ceux qui ventent constamment leur argent et qui tentent de se convaincre que celui-ci leur octroie tout les droits. À ton avis, tu es supérieur à tous ceux qui ne sont pas de ton rang. C’est puéril et superficiel. Mais c’est exactement le genre de personne que tu es. D’après Anya, tu salis même l’image de la famille et celle-ci ne cesse de te réprimander d’ailleurs… Arrogant et méprisable. Pour toi, le nom « Winter-Fitzgerald » n’a aucune valeur significative si ce n’est que c’est une source d’argent inépuisable. Tu es loin d’être de ceux qui font honneur à leur sang… Mais que veux-tu y faire?

Soudainement, tu t’arrête pour jeter un coup d’œil par une fenêtre. Tu as hâte de partir à l’aventure, de découvrir le monde comme tu ne l’as encore jamais connu… Pourtant, tu as l’impression que tout ceci pourrait éventuellement te manquer. Une fois parti, ce ne sera plus la même luxure auquel tu auras droit et cela te déplait peut être un peu… Tu as nombre de qualités et tout autant de défauts, mais n’est-ce pas là la preuve de ton humanité? Pour comprendre la complexité de ton esprit, il faut assimiler une seule information prioritaire ; Tu ne vis que pour toi, que pour ton bien être personnel. Tu es le genre de personne qui n’a qu’une seule envie ; s’amuser. Pour toi, n’importe quoi est source d’amusement… Il est difficile de t’aimer, tu n’es pas un individu créé pour plaire contrairement à ce que l’on pourrait croire. Tu es un parfait petit comédien. Tu connais ta véritable personnalité, mais pour charmer, tu n’hésites pas à prendre le rôle du gentil petit garçon… Ça ne dure jamais longtemps cependant. Tu donne sans cesse l’impression d’être renfermés sur ta petite bulle individualiste. Tu ne connais pas l’essence du mot entraide ou la signification d’amitié, ce sont des concepts nébuleux auxquels tu n’accordes guère d’importance. Tu regardes tout le monde de haut, comme un chat posant son regard sur un attroupement de souris en état de panique. Le monde est ton terrain de jeu et chaque être vivant est un pion que tu es convaincu que pouvoir bouger à ta guise. De ton avis, très peu de personnes méritent ton respect, si ce n’est que certaines personnes de ton prestige…

Soupirant, tu laisses tomber ta contemplation. Le soleil, qui vient tout juste d’entreprendre sérieusement sa course contre la montre dans cet étendu céleste, vient projeter une lumière chaleureuse dans cette demeure. Les vitres reflètent cette lueur apaisante. Tu franchis de couloir en couloir, sachant pourtant parfaitement où tu te rends, mais n’empruntant pas le chemin le plus court. Après tout, du moment qu’elle n’attend pas trop longtemps après toi, elle ne devrait pas trop te rabattre les oreilles avec ses futilités… Au fur et à mesure que tu continues ta route, tu ne peux t’empêcher de réfléchir. Tu ne nies pas ce que tu es ; Un être fourbe qui ne se gêne pas pour jouer avec les autres. En effet, si les apparences veulent que quelconque humain normalement constitué n’ait pas envie de se confier à toi, les faits, eux, sont encore pires. Les rares personnes qui t’ont adressé un soupçon de confiance l’ont rapidement regretté. Tu te joue des secrets qui tombent entre tes oreilles, agissant toujours de manière à causer du tort à son propriétaire. Sous chacune de tes paroles, si elle n’est pas ponctuée d’ironie ou de méchanceté, il y a anguille sous roche. Il n’est pas dans ta nature profonde que d’être gentil avec autrui. Cela ne te convient pas, ce n’est pas drôle. Un gosse de riche qui se croit tout permis. Ces termes ne pourraient être plus véridiques.

Ton regard se pose sur les nombreux portraits qui ornent les murs sur ta route. Des portraits de tes ancêtres et de leurs pokémons. Les pokémons… Tu n’avais jamais vraiment trouvé quelconque intérêt à ses bêtes. Mais maintenant que tu va devenir coordinateur et que tu allais combattre, tu ne pouvais t’empêcher de trouver un certain intérêt à ce passe temps. Un autre amusement unique en son genre. Si tu as des qualités, on pourrait souligner ta vivacité d’esprit et certaines autres qualités encore inconnues aux yeux du grand publique. Admettons, tout de fois, que tu ne te calque pas aux idéaux humains… Presque. Et puis, tu ne fais pas attention à l’avis des autres, cela est frivole et inutile à tes yeux. Après tout, y a-t-il un dresseur, en ces terres, qui cherche à copier autrui? Oui voilà. Aujourd’hui… Tu vas quitter Kalos pour aller à Hoenn. Commencer une nouvelle vie… Pourquoi ? Pour accompagner ta sœur. Bien sûr, c’est pour pouvoir succéder à tes parents en tant que Duc… Mais en aurais-tu prit l’initiative? Si enfant unique tu aurais été, aurais-tu vraiment fait tous ces efforts? Va savoir… Et puis, au final, pouvoir crâner à la Châtellerie des combats n’était pas si mal.

Ps : Tu t'amuse d'autant plus avec les femmes. Pourquoi? Parce que leur "charme" te laisse complètement indifférent... Et c'est encore plus drôle de voir les plus frivoles d'entre elles chercher à attirer ton attention. Sans résultat.


Informations générale sur le pokémon
Race : Riolu
Sexe : Masculin ♂
Surnom : Isanity
Nature : Malpoli


Informations générale sur le  joueur
Quels sont les 3 Pokémon de MP ? Right ! (Ru)

C'est un double-compte ? Qu'est-ce que t'en dis? J'ai une gueule de DC?

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